Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans cesse. Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous. (Charles Baudelaire)

Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans cesse. Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous. (Charles Baudelaire)

Laissez vous griser !

(23/10/2017)